Migrations Oracle: 10 raisons pour lesquelles les organisations quittent Oracle en 2024

Migrations Oracle: 10 raisons pour lesquelles les organisations quittent Oracle en 2024

En 2024, le paysage technologique connaît une augmentation des projets de migration, en particulier parmi les entreprises qui quittent Oracle. Cette tendance est motivée par une multitude de facteurs, allant du besoin d'une plus grande innovation et agilité au désir d'une efficacité économique et d'une sécurité améliorée. Ce blog explorera les raisons de la popularité croissante des projets de migration et comment des organisations comme RENAPS, avec leur suite de produits ORMIT, facilitent ces transitions.

1. Technologies héritées freinant l'innovation

L'une des principales raisons pour lesquelles les entreprises quittent Oracle est la limitation imposée par les technologies héritées. Souvenons-nous que le concept initial de Oracle Forms fut conçu en 1979, soit il y a 45 and. Nous pouvons affirmer sans aucun doute que cette technologie est désuette depuis un bon moment déjà. Ces systèmes obsolètes manquent souvent de la flexibilité et de l'évolutivité nécessaires pour répondre aux besoins commerciaux modernes. En conséquence, les organisations se tournent vers des solutions plus récentes et plus agiles qui permettent une innovation plus rapide et une adaptabilité dans un marché en évolution rapide.

2. Standardisation et consolidation

Les organisations cherchent de plus en plus à rationaliser leurs opérations en standardisant et consolidant leurs plateformes technologiques. Cette approche améliore la sécurité, la fiabilité et le support tout en réduisant les coûts. L'évaluation régulière de la pile technologique aide les entreprises à éviter les technologies obsolètes et potentiellement dangereuses, assurant ainsi qu'elles peuvent répondre efficacement aux pressions du marché.

3. Coûts de licence en hausse

Les coûts de licence d'Oracle augmentent régulièrement, et la complexité de leurs accords de licence laisse souvent les clients payer plus que prévu. Cette pression financière pousse les entreprises à rechercher des alternatives plus abordables. L'analyse coût-avantage révèle fréquemment que migrer hors d'Oracle peut être économiquement avantageux à long terme.

Oracle est également connu depuis longtemps pour verrouiller les clients par des termes contractuels complexes et souvent contraignants. Une pratique particulièrement controversée est la capacité d'Oracle à "réajuster" les contrats, ce qui peut entraîner des coûts imprévus et significatifs pour les clients. Imaginez un scénario où un client d'Oracle réduit considérablement son utilisation de licences de bases de données Oracle. Par exemple, une entreprise pourrait diminuer son utilisation de 1000 licences à 100 licences. Naturellement, vous vous attendriez à ce qu'une réduction de 90 % de l'utilisation se traduise par une réduction correspondante de 90 % des coûts de support Oracle. Cependant, la réalité peut être tout autre. En raison des termes et conditions inclus dans les contrats d'Oracle, l'entreprise conserve le droit de réajuster le coût des licences restantes. Cela signifie que même si le client a réduit drastiquement son utilisation, Oracle peut ajuster la structure tarifaire de sorte que le coût des 100 licences restantes soit proche de celui payé pour 1000 licences. Cette pratique compromet les avantages financiers que les clients attendraient de la réduction de leur empreinte Oracle.

Pour surmonter ces défis, les entreprises doivent être vigilantes quant aux termes et conditions de leurs contrats Oracle. Travailler avec des équipes juridiques et d'approvisionnement pour examiner et négocier minutieusement les termes des contrats avant de les signer peut offrir une certaine protection contre les réajustements imprévus. De plus, les entreprises pourraient envisager de solliciter les conseils de consultants tiers comme RENAPS, spécialisés dans la gestion des licences et des contrats Oracle. En outre, explorer des solutions de bases de données alternatives et migrer progressivement hors de l'écosystème Oracle est une démarche stratégique très populaire. Les bases de données modernes et open source offrent souvent la flexibilité et les économies de coûts que les entreprises recherchent, sans les coûts cachés associés aux réajustements.

4. Audits fréquents et pénibles

Oracle est réputé pour ses audits rigoureux et fréquents, qui se traduisent souvent par des amendes lourdes et des défis de conformité pour les clients. Oracle utilise les audits de licence menés par leur équipe LMS pour contraindre les clients réticents à acheter leurs services cloud. Besoin de preuves ? Prenez connaissance des mésaventures de la ville de Denver. Oracle considère ses offres cloud comme un puissant mécanisme pour assurer la dépendance des clients. En contrôlant les contrats, le matériel, les logiciels, l'implémentation et les données, Oracle crée efficacement une situation où les clients trouvent extrêmement difficile de quitter leur écosystème. Cela représente un avantage stratégique considérable pour Oracle. Ces audits et pratiques commerciales créent un climat d'incertitude et de frustration, poussant les entreprises à rechercher des solutions moins intrusives et plus prévisibles.

5. Influence des grandes marques

Des entreprises de renom comme Amazon ont publiquement abandonné Oracle, créant un précédent qui influence d'autres entreprises à reconsidérer leur dépendance aux produits Oracle. De plus, selon Amazon, la transition vers le cloud a permis des économies d'échelle, des améliorations de performance et des réductions de frais administratifs. Par exemple, Amazon à pu réduire ses coûts de base de données de plus de 60%, et ceci, en plus des forfaits avantageux négociés avec Oracle vu la taille exceptionnelle des données gérées. Les consomateurs rapportent fréquemment des économies de plus de 90% lors d'une transition de base de données hors écosystème Oracle. Également observées furent des améliorations de performance et de latence au niveau des applications utilisateur de l'ordre de 40% plus rapide. Les coûts des tâches administratives ont été aussi réduites d'environ 70% en utlisant des services gérés à la demande. Voir des leaders de l'industrie passer à des solutions alternatives avec un si grand succès renforce la perception que les produits Oracle ne sont plus aussi essentiels qu'auparavant.

6. Peur de la dépréciation

La peur de la dépréciation et de la fin du support pour les technologies Oracle, telles qu'Oracle Forms, pousse les organisations à migrer vers des solutions plus durables. Les coûts élevés associés au support prolongé rendent la migration plus attrayante, surtout lorsque les alternatives modernes offrent des fonctionnalités similaires sans le prix élevé. Lorsque le support d'Oracle prend fin, de nombreuses organisations se retrouvent avec des coûts de support prolongés qui augmentent de 10 % par rapport à leurs frais de support existants la première année et de 20 % supplémentaires les deuxième et troisième années. Cela seul peut être une incitation majeure à s'éloigner d'Oracle, d'autant plus que la plupart des produits open-source et récents peuvent accomplir entre 90 % et 99 % de ce que font les produits Oracle. La plupart des organisations n'utilisent même pas de fonctionnalités Oracle qui nécessitent des produits Oracle. Comme de nombreux fournisseurs — et certainement pas moins que les autres — Oracle a introduit avec enthousiasme de nouveaux produits tout en abandonnant les anciens, parfois après une durée de vie étonnamment courte, et sans toujours prêter attention aux chemins de migration clairs pour les clients existants. Les équipes de produits Oracle travaillent souvent dans leur propre contexte, avec peu de coordination et de responsabilité pour l'histoire construite avec et par les clients.

7. Efficacité et disponibilité

Les technologies modernes sont conçues pour distribuer la charge de manière plus équilibrée, réduisant les coûts d'infrastructure serveur et améliorant l'efficacité et la disponibilité globales du système. Les anciens produits d'Oracle nécessitent souvent des ressources et des optimisations significatives, les rendant moins efficaces par rapport aux alternatives contemporaines.

8. Passage au cloud

Alors que les organisations définissent leurs stratégies cloud, beaucoup choisissent des solutions qui n'incluent pas Oracle. La tendance à la migration vers le cloud est un facteur clé incitant les entreprises à réévaluer leurs piles technologiques et à se tourner vers des options plus compatibles avec le cloud.

9. Évolution de la culture technologique

Au sein des organisations, il y a une reconnaissance croissante de la nécessité de rester à jour avec les tendances technologiques. Le personnel technique préfère souvent les technologies modernes et open-source offrant une plus grande flexibilité et un support communautaire. Pendant ce temps, le personnel managérial est plus préoccupé par la réduction des coûts et l'amélioration du retour sur investissement. Ce changement culturel amène de nombreuses entreprises à éliminer progressivement Oracle en faveur de solutions plus modernes et rentables.

10. Pénurie de talent

Il y a une diminution de l'offre de nouveaux talents en technologies Oracle sur le marché. Alors que la communauté des développeurs Oracle se réduit progressivement, sans nouveaux talents émergents, la technologie Oracle Forms elle-même, vieille de 45 ans, fait face à un défi important. De nombreux experts actuels en Oracle Forms approchent de la retraite, ce qui pose un risque considérable pour la maintenance à long terme de cette technologie.